Gérard PLANÇON

Actualités Européennes

Directive sur les conditions de travail via les plateformes

  • Adoptée après deux ans de discussions lors du Conseil EPSCO le 11 mars 2024.
  • Grâce au soutien de la Grèce et de l’Estonie, la minorité de blocage a été levée.

Règlement travail forcé

  • Accord politique pour interdire les produits issus du travail forcé sur le marché de l’UE.

Directive sur le devoir de vigilance

  • Le Parlement européen a adopté cette directive qui impose aux entreprises de prévenir les violations des droits humains et environnementaux dans leurs chaînes d’approvisionnement.

Proposition pour améliorer la qualité des stages

  • La Commission européenne a présenté une nouvelle directive visant à améliorer les conditions des stages au sein de l’UE.

Renforcement de l’Autorité européenne du travail

  • Mesures pour renforcer l’Autorité européenne du travail pour une meilleure coordination entre les États membres.

Egalité entre les femmes et les hommes

  • Initiatives pour promouvoir l’égalité des sexes et lutter contre les discriminations.

Dialogue social

  • Discussions et initiatives pour renforcer le dialogue social au niveau européen.

Marché intérieur et gouvernance économique de l’UE

  • Nouvelles régulations et politiques économiques pour un marché intérieur plus intégré et une gouvernance économique efficace.

Numérique

  • Réglementations et initiatives pour le développement numérique en Europe.

Droits humains et protection temporaire

  • Mesures de protection des droits humains et régulations pour la protection temporaire des personnes vulnérables.

Actualités Internationales :

Dialogue social international

  • Initiatives et accords pour renforcer le dialogue social au niveau international.

OIT : Rapport sur le travail forcé

  • Publication d’un rapport sur les bénéfices tirés du travail forcé, estimés à 236 milliards de dollars.
  • Le rapport présente une augmentation significative depuis 2014 et souligne l’exploitation sexuelle commerciale.

OIT : Impact du réchauffement climatique sur la SST

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Comité de Groupe

Déclaration

La CFE-CGC souhaite que le calendrier des NAO, programmé habituellement au dernier trimestre de l’année soit décalé au 1° trimestre et ceci après que les salaires des salariés aient été réajustés par rapport aux minimas, négociés au préalable en région et au national. De telle sorte qu’il n’y ait plus la notion de rattrapage dans le cadre des NAO. Celles-ci pourraient par conséquent, débuter dès le début du mois de février.

Nous souhaitons également que soit dissociées de l’enveloppe, les promotions et trajectoires qui concernent seulement un nombre limité de salariés mais également tous les autres éléments qui ne sont pas liés à l’augmentation réelle des salaires (ex : prime vélo, chèques CESU, Prof Express…). Cette dissociation aurait pour intérêt de donner davantage de clarté à l’ensemble du personnel et ferait apparaître clairement le pourcentage destiné aux salariés méritants.

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Message de la Direction Confédérale

Bonjour,

En tant qu’organisation syndicale indépendante, n’ayant aucune attache avec un parti politique, la CFE-CGC, conformément à ses statuts, n’intervient pas sur le choix de vote durant la campagne des législatives des 30 juin et 7 juillet.

A ce titre elle n’appelle à aucune manifestation ni rassemblement quels qu’en soient l’origine ou les initiateurs.
Par ailleurs, la CFE-CGC reste présente et mobilisée pour commenter et se positionner par rapport à toute initiative et décision gouvernementale qui viendrait à intervenir d’ici là.
Nous saurons, comme c’est notre rôle, prendre toute notre part dans le débat politique sur les grands sujets nationaux qui nous seront soumis à l’issue du scrutin.

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Communiqué intersyndicale du 12 juin 2024

L’exécutif doit renoncer à sa réforme de l’assurance-chômage

Le gouvernement a décidé de mener une 5ème réforme de l’assurance chômage, dont l’objectif affiché serait l’atteinte du « plein emploi ».

Ces mesures poursuivent la logique de baisse brutale des droits entamée en 2019 par l’exécutif qui n’a eu de cesse de durcir les règles d’indemnisations des demandeurs d’emploi :

Réforme du calcul du salaire journalier de référence, passage de 4 à 6 mois de la durée de cotisation nécessaire pour l’ouverture de droits, application d’un coefficient réducteur sur la durée maximale d’indemnisation via le mécanisme de contracyclicité, dégressivité de l’allocation pour les « hauts revenus » à partir du 7ème mois…

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