SPIE

Déclaration au CSE Central de SPIE Industrie le 16/05/2025

Analyse de la situation économique et financière de SPIE Industrie en 2024

Suite au rapport de Convergences Conseil, nous constatons que les résultats économiques et financiers 2024 de notre filiale sont positifs. La production est certes en baisse mais les autres indicateurs sont bien orientés particulièrement le taux d’EBIT et le cash conversion.
Nous constatons également que la sélectivité accrue dans les appels d’offres a contribué à l’amélioration de la marge.
Nous craignons cependant, que le développement des activités « projet » vienne d’avantage déséquilibrer la diversité de nos affaires. Ce qui devrait, selon nous, rester la richesse de notre entreprise. Nous prenons acte de votre volonté de développer l’activité maintenance. Nous resterons tout de même attentifs au déploiement des moyens mis en œuvre pour ce faire.
Au regard de cette année « olympique », dixit M. Gauthier LOUETTE, les salariés ne s’y retrouvent pas en termes de rémunération. Les NAO n’ont pas été à la hauteur de leurs attentes. Les primes d’intéressement et de participation les ont également déçus.
Malgré la baisse des démissions et du turnover, l’effectif est encore en repli. Cette situation nous inquiète sur notre capacité à gérer les projets toujours plus nombreux et à développer les autres activités. Cela pourrait engendrer une surcharge de travail.
Nous rappelons l’importance de poursuivre et renforcer les actions de fidélisation des salariés présents et d’attractivité pour capter de nouveaux talents.
Notre principale préoccupation en tant que représentants du personnel reste une juste reconnaissance du travail des salariés qui performent chaque jour et participent aux résultats de SPIE Industrie.

Lire la suite de l'article

Handicap : Un Accord chez SPIE Building Solutions

Mission accomplie : le 19 Mars 2025, la CFE-CGC a signé un nouvel accord en faveur de l’emploi des personnes en situation de handicap

Cosignataires : la Direction, François GALMICHE et deux autres syndicats (CFDT & FO)

L’accord est entré en vigueur au 1er janvier 2025 pour une durée de 3 ans, sous réserve de son agrément par la Direction Interdépartementale de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités (DRIEETS).

UNE APPROCHE COMPLETE EN FAVEUR DE L’EMPLOI DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP

Lire la suite de l'article

Les cahiers du BTP – 01/2025

Grand Est – Succession dans la continuité à la présidence

Notre cher collègue et ami, Georges Horner, remplace Hervé JACQUOT à la présidence de la section, en attendant la prochaine AGE prévue en octobre 2025

Mi-septembre, Hervé Jacquot quittait la présidence de la section Grand Est, pour des raisons de changement de secteur d’activité. Georges Hoerner a pris la relève. Jusqu’ici président adjoint d’Hervé Jacquot, il occupera cette fonction jusqu’à la prochaine assem­blée générale élective (AGE), prévue en octobre prochain. Cette passation de pouvoir s’est effectuée en toute transparence, en accord avec le pré­sident du syndicat, Gérard Duez, et les instances nationales. Le syndicat et l’ensemble du bureau de la section ont soutenu Georges Hoerner dans ses nouvelles fonctions.

Lire la suite de l'article

Communication de notre partenaire Atlantes Avocats

Les nouveaux fossoyeurs du dialogue social

Une fois de plus le gouvernement a décidé de s’attaquer aux représentants du personnel en présentant un projet de loi au Parlement courant mars, pour adoption avant l’été, visant à supprimer les attributions dont bénéficient actuellement les CSE dans les entreprises de 50 à 250 salariés.

  • Suppression de l’information consultation du CSE sur tous les sujets
  • Arrêt des obligations d’information en matière de santé, sécurité et conditions de travail
  • Réduction de la fréquence des réunions du CSE
  • Suppression de la BDESE
  • Diminution du nombre d’heures de délégation
  • Disparition des délégués syndicaux et des référents contre le harcèlement sexuel et les agissements sexistes
  • Organisation des réunions du CSE en visio conférence

Suppression de la personnalité juridique des CSE ayant notamment pour effets :

  • Absence de budgets
  • Arrêt des activités sociales et culturelles
  • Impossibilité d’être accompagné par un expert
  • Suppression des mesures en matière de plan de sauvegarde de l’emploi
  • Réduction de l’accès à l’épargne salariale
  • Arrêt des contestations en justice

Ce projet aurait pour raison d’être le « fardeau administratif dont souffrent les entreprises ».

Lire la suite de l'article

Négociations Annuelles Obligatoires 2024 : Application 2025

La CFE-CGC ne signera aucun accord dans le cadre des NAO 2025, pour deux raisons essentielles :

  • Le calendrier des NAO imposé par la Direction est clairement inapproprié.
    Nous lui avons adressé un courrier dans ce sens le 10 septembre 2024. Il est inconcevable de négocier un accord alors que le pourcentage d’augmentation est déjà connu de tous et que la répartition des enveloppes a été préalablement réalisée au sein des services.
  • Le pourcentage d’augmentation de 1,8 % attribué à chacune des filiales est nettement insuffisant, et ce, pour au moins deux motifs :
    • Les performances économiques et financières du Groupe sont excellentes et résultent du travail de l’ensemble des salariés.
    • Depuis 2021, les salariés subissent une perte de pouvoir d’achat significative face à une inflation élevée, alors que les NAO précédentes n’ont permis qu’une revalorisation salariale insuffisante pour compenser cette dégradation.

    Par ailleurs, la CFE-CGC trouve inadmissible que la répartition de l’enveloppe (d’une part les augmentations individuelles et d’autre part les trajectoires + promotions + rattrapage des minima) ne soit pas uniforme entre les différentes filiales du Groupe. Notons également qu’en 2024 l’enveloppe sera fortement pénalisée par le poids des minima.

    La CFE-CGC espère être enfin entendue lors des prochaines NAO et qu’un véritable ACCORD NAO puisse être signé, répondant à la fois aux attentes légitimes des salariés et à la reconnaissance de leur contribution aux résultats du Groupe.

    Lire la suite de l'article

Victoire Syndicale : La CFE-CGC BTP de SPIE CityNetworks Confirme Son Élection

Suite à la décision du Tribunal de Grande Instance de Bobigny concernant le contentieux électoral initié par la CGT, nous avons le plaisir d’annoncer que la CGT a été déboutée de sa demande d’annulation des élections 2024 de notre filiale CityNetworks. Cette demande a été entièrement rejetée sur tous les points mentionnés.

Cette victoire est cruciale pour notre syndicat, car une annulation des élections aurait paralysé l’ensemble des Comités Sociaux et Économiques (CSE) de notre filiale. Grâce à la défense vigoureuse de la Direction SPIE CityNetworks, de la CFE-CGC BTP et de FO, représentés par leurs avocats respectifs, nous avons pu remporter ce contentieux et maintenir notre représentativité.

Lire la suite de l'article

Signature d’un nouvel Accord de la Qualité de Vie et des Conditions de Travail

Le 27 août dernier à notre nouveau siège de Saint-Ouen-Sur-Seine, a été signé un “Accord relatif à la qualité de vie et des conditions de travail et la prévention des risques psycho-sociaux”

Ce nouvel accord a pour but de faire évoluer les dispositions contenues au sein de l’accord relatif à la qualité de vie au travail et la prévention des risques psychosociaux signé le 23 juin 2020.

La Qualité de Vie au Travail peut se définir comme “l’existence d’un cercle vertueux entre plusieurs dimensions directement ou indirectement liées à l’activité professionnelle : relations sociales et de travail, contenu du travail, environnement physique, organisation du travail, possibilité de réalisation et de développement personnel, conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle. Il est entendu que l’effet global de l’action menée sur chacune de ces dimensions n’est pas le résultat d’une simple addition, mais de l’émergence d’une culture partagée autour du sujet de Qualité de Vie au Travail” (ANACT).
Dans cette optique, les signataires de cet accord sont convaincus que la Qualité de Vie au Travail, fondée sur un principe de co-responsabilité entre l’entreprise et ses salariés, constitue une clé pour l’épanouissement individuel et collectif.
Les risques psychosociaux s’inscrivent dans le cadre général des risques professionnels et entre dans le champ de la santé au travail.
Depuis la loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002, l’employeur a l’obligation de prévenir tout risque pouvant affecter la santé physique et mentale des salariés en comprenant des actions de prévention, d’information et de formation ainsi que la mise en place d’une organisation et des moyens nécessaires.
L’accord interprofessionnel du 2 juillet 2008 a étendu le domaine de prévention des risques professionnels pour intégrer la notion de stress professionnel. Il fournit des indicateurs permettant d’identifier des situations de stress au travail, indique les facteurs à prendre en compte dans une analyse du stress au travail et rappelle le rôle de l’employeur, du médecin du travail et des institutions représentatives du personnel.
L’accord du 26 mars 2010 sur le harcèlement et la violence au travail vient compléter l’ANI sur le stress.
Il incite à favoriser la prise de conscience des salariés et fournit aux acteurs de la prévention un cadre d’action en vue d’identifier, de prévenir et gérer ces problèmes.
Les parties affirment leur volonté de développer un environnement de travail sain et épanouissant pour les collaborateurs, de concilier l’amélioration des conditions de travail avec la performance collective de l’entreprise, et favoriser l’équilibre entre la vie personnelle et la vie professionnelle des collaborateurs.
Dans ce cadre, il est apparu que le présent accord permettait de répondre de façon pertinente à l’objectif recherché. En effet, cette négociation souligne la volonté d’accompagner l’ensemble des collaborateurs, quel que soit leur statut, dans le maintien et le développement de leur qualité de vie au travail. Les dispositions de cet accord ont également pour objectif de fournir un soutien au salarié durant les périodes difficiles qu’il pourrait traverser dans sa vie personnelle.

Lire la suite de l'article