Voici l’édition de septembre du trimestriel “Le Magazine”.
Vous pourrez y retrouver une multitude d’articles très divers en lien avec l’actualité et le syndicalisme de la CFE CGC.
Bonne lecture

Voici l’édition de septembre du trimestriel “Le Magazine”.
Vous pourrez y retrouver une multitude d’articles très divers en lien avec l’actualité et le syndicalisme de la CFE CGC.
Bonne lecture
Les situations présumées de harcèlement au travail se sont multipliées des dernières années.
Ce guide de la FIRPS, permet de vous partager des retours d’expérience, des repères de méthode et des recommandations, afin d’aider les acteurs à traiter ces situations et à prévenir durablement les risques liés au harcèlement moral et sexuel, pour une meilleure santé mentale au travail.
guide harcèlement FIRPSTéléchargerDans un monde professionnel en constante évolution, l’importance de l’activité physique ne saurait être sous-estimée. En effet, favoriser l’activité physique et sportive en milieu professionnel constitue une démarche essentielle pour promouvoir le bien-être des employés, accroître leur productivité et renforcer la cohésion d’équipe.
Publi-redac_APS OS_Groupe VYV_HD INTTéléchargerLe Comité Social et Économique (CSE) joue un rôle crucial dans le bien-être des salariés en proposant diverses prestations liées aux activités sociales et culturelles (ASC). Ces prestations, qu’elles soient offertes par le CSE ou par l’employeur en l’absence de CSE, sont exonérées de cotisations et contributions sociales sous certaines conditions. Une de ces conditions majeures est l’absence de discrimination lors de l’attribution des prestations.
Jusqu’à récemment, l’Urssaf permettait au CSE de fixer une condition d’ancienneté pour l’attribution des prestations, à condition que cette durée ne dépasse pas six mois. Cette tolérance ne remettait pas en cause l’exonération de cotisations et contributions sociales.
Directive sur les conditions de travail via les plateformes
Règlement travail forcé
Directive sur le devoir de vigilance
Proposition pour améliorer la qualité des stages
Renforcement de l’Autorité européenne du travail
Egalité entre les femmes et les hommes
Dialogue social
Marché intérieur et gouvernance économique de l’UE
Numérique
Droits humains et protection temporaire
Actualités Internationales :
Dialogue social international
OIT : Rapport sur le travail forcé
OIT : Impact du réchauffement climatique sur la SST
Un CSE ne peut pas soumettre l’ouverture du droit des salariés et stagiaires au bénéfice des activités sociales et culturelles à une condition d’ancienneté, juge la Cour de cassation dans un arrêt du 03 avril 2024.
Le contexte
Le 3 avril 2024, la Cour de cassation censure l’arrêt d’appel.
Le CSE ne peut pas soumettre l’ouverture du droit de l’ensemble des salariés et stagiaires au bénéfice des activités sociales et culturelles à une condition d’ancienneté. Le délai de carence est donc illicite, selon l’arrêt de la Cour de cassation.
Continuons à agir !
Après 6 mois de grèves, d’une mobilisation historique par sa durée et par l’ampleur des manifestations, l’exécutif a décidé d’imposer sa réforme des retraites en empêchant une nouvelle fois les parlementaires de voter. Ce nouveau déni de démocratie, les nombreux passages en force, malgré le rejet massif de la population laisseront des traces profondes. Hier encore, le conseil de l’Europe s’est interrogé sur l’ingérence significative de l’exécutif suite à l’utilisation en France de l’article 49.3.
6 juin : gagnons le retrait de la réforme et obtenons des avancées sociales !
L’intersyndicale appelle les travailleuses et les travailleurs, jeunes et retraité.es à faire du 6 juin une grande journée de grèves et de manifestations sur l’ensemble du territoire pour gagner le retrait de la réforme des retraites et des avancées sociales.
L’intersyndicale appelle les député.es à voter, le 8 juin prochain, la proposition de loi transpartisane abrogeant la réforme des retraites pour permettre enfin une sortie de crise. Dans le cas contraire, si encore une fois, le gouvernement s’obstinait à passer en force, en utilisant des artifices constitutionnels, la colère n’en serait que renforcée.
Paris, le 05 mai 2023
Madame, Monsieur, la, le député(e),
Madame la sénatrice, Monsieur le sénateur,
Nous vous avions écrit le 14 février dernier pour vous interpeller de façon très solennelle et grave sur la crise politique et sociale que traverse actuellement notre pays, en raison de l’entêtement incompréhensible de l’exécutif sur le projet de réforme des retraites.
Au cours d’un parcours parlementaire chaotique, le gouvernement a utilisé tous les outils constitutionnels à sa disposition permettant de limiter l’exercice démocratique. En usant du 49.3, il a fait le choix d’accentuer la crise démocratique et sociale malgré le refus très majoritaire du report de l’âge de départ en retraite à 64 ans et de l’allongement de la durée de cotisation est confirmé avec constance : 70% de la population et 94% des actifs sont encore aujourd’hui opposés à cette réforme.